Cette année, nous avons découvert un monde fascinant, la laboratoire de Biotechnologies !!

Mais il ne faut pas oublier que c’est aussi un univers dangereux, et qu’il faut prendre des précautions particulières pour réaliser chaque manipulation.

Le principal dommage quand ont fait des analyses (de sang, d’urine, bactériennes, …), c’est d’être contaminé par l’échantillon que l’on manipule.

Afin d’éviter toute contamination, nous établissons, avant chaque manipulation, un tableau d’analyse a priori des risques ; celui-ci permet de déterminer les moyens de protection les plus adaptés pour nous protéger contre les différents dangers du laboratoire de Biotech.

Ainsi, dès qu’on a affaire à une substance potentiellement contaminée ou contaminante, il faut s’équiper de manière adapter en portant les EPI (= Equipements de Protection Individuelle) :

• Une blouse personnelle, qui reste au laboratoire de Biotechnologies, dans un placar
• Des lunettes de sécurité, pour éviter toute projection (quand on ouvre un tube de sang par exemple)
• Une paire de gants, qui est jetée après la manipulation.

Avant de commencer chaque manipulation, nous enfilons notre blouse et nous nous lavons les mains. Nous travaillons sur une paillasse que nous désinfectons avant et après chaque manipulation. La paillasse doit être vide d’objets personnels ; pour cela, nous déposons sous la paillasses classeurs, trousses, sacs, blousons, …

Sur la paillasse, il y a un conteneur DASRI : c’est une poubelle de couleur jaune, qui collecte les déchets piquants, coupants, tranchants, présentant un risque infectieux (par exemple, une pipette Pasteur contenant des microorganismes susceptibles de causer une maladie), et qui est un moyen de protection collective au sein du laboratoire. Ces déchets sont récupérés plusieurs fois dans l’année par une entreprise spécialisée, qui est chargée de leur incinération.

Une fois la manipulation terminée, nous rangeons le matériel, la paillasse et la blouse, et nous terminons par le lavage des mains.

Grâce à toutes ces mesures, nous limitons ainsi le risque de contamination et nous nous sentons en sécurité.

Article rédigé par Luka et Matthias – Seconde 1 – 1er octobre 2020